C'est bien clair
Comment tout est
Après avoir regardé
Et avoir écouté
Chantez et jouez
Puis en silence
Une certaine distance
Laissez partir ce qui était
Embrassez ce qui est
Tout libre et réel
Ici et maintenant
Seul ensemble
Allant très loin
Comme possible
Et tout le mieux
En vivant une vie
Atteignez au-delà
Et soyez rincé au loin
Des illusions fondent
Les essences restent
Falaises en déferlement
Le martèlement des eaux
Et le tonnerre d'éclats
L'humidité qui guérit
Blessures du combat
Dans un cœur de paix
Dans le détachement
L'amour emporte tout
À la maison comme âme.
“Farewell welcome blues” – d'une lune à l'autre
C'est bien clair, l'essence de l'esprit Shariyat
Le fou est convaincu que rien de plus grand que lui n'existe... Ce qui existe en tant que tel est au-delà de toute compréhension... Ce n'est compris que lorsque l'étudiant le laisse l'avaler et le digérer.
Dans l'esprit, il y a le ton indubitable de la sincérité qui fait l'action qui n'est pas étudiée et fabriquée. Quiconque pense et agit avec un esprit divisé sonne comme une cloche fêlée, une partie se tenant à l'écart pour interférer avec l'autre, pour contrôler, pour condamner ou pour admirer. Le vrai moi, ou l'âme, ne peut être divisé, car c'est comme l'épée qui coupe mais ne peut se couper elle-même.
– Librement selon : The Shariyat-Ki-Sugmad, Books One & Two, Paul Twitchell, p. 238 et 248