Ce n'était pas une erreur

Ce n'était pas une erreur
De dépersonnaliser Dieu
Le divin en nous tous
Entrant et sortant
Pas un seul unique
Mais en elle et en lui
Et en toi et en moi
Lorsque c'est juste
Tout se met en place
Dans un pivot d'harmonie
L'esprit passe à travers
Bien visible et audible
Pour l'oreille qui entend
Et l'oeil qui regarde.
Peux-tu l'entendre
Et peux-tu le voir
Alors, es-tu prêt
À laisser aller tout
Toutes limitations
Et à embrasser
De plus en plus
Tout ce qui existe
Libre des choses
Qui ne sont pas
Et simplement être
Ici et maintenant
Dans l'esprit divin
Et l'amour de Dieu.

“No mistake” – grand ciel, plage, rocher, pin, branche cassée

Phrygien sur La (progressif) encadrant HexaBlueUp (BlueUp sans 7+) sur Mi (régressif) – guitare à 8 cordes et flûte à bec ténor – 6:40 – en loop sur un onglet séparé

Ci-dessus Παραλία Μπίστι / Plage Bisti sur Ύδρα / Hydra – enregistrement de flûte et photo par Karin Gsöllpointner

Ce n'est pas une erreur, la nature nous enseigne l'harmonie

Communication animale

“La communication dans le règne animal est aussi naturelle qu'une brise... Au début, ce sont seulement les limitations humaines auto-imposées qui ont entravé ma compréhension.
“Dans nos villes bruyantes, nous avons tendance à oublier ce que nos ancêtres savaient au plus profond d'eux-mêmes : que la nature sauvage est vivante, que ses murmures sont là pour que chacun les entende – et y réponde.
“Nous devons également comprendre qu'il y a des choses que nous ne pouvons pas comprendre. Les éléphants possèdent des qualités et des capacités que la science n'est pas en mesure de déchiffrer... À certains égards très importants, ils sont en avance sur nous.
“Certaines occurrences inattendues sont tout à fait évidentes dans tout le royaume végétal et animal et il n'y a rien de tel que de regarder ce qui se passe réellement autour de nous, pour renverser une grande partie de ce que nous avons toujours cru être vrai.” – p. 2

Communication entre les plantes

“Cela s'étend même à la vie végétale... L'acacia comprend non seulement qu'il est attaqué lorsqu'il est brouté par une antilope ou une girafe, mais il injecte rapidement du tanin dans ses feuilles, ce qui leur donne un goût amer. L'arbre libère ensuite une odeur, une phéromone, dans l'air pour avertir les autres acacias de la zone du danger potentiel. Ces arbres voisins reçoivent l'avertissement et commencent immédiatement à produire eux-mêmes du tanin en prévision d'une attaque.
“Or, un arbre n'a pas de cerveau ni de système nerveux central. Alors comment ces décisions complexes sont-elles prises ? Ou, plus pertinemment, pourquoi ? Pourquoi un arbre apparemment insensible se soucierait-il suffisamment de la sécurité de son voisin pour prendre la peine de le protéger ? Sans cerveau, comment peut-il savoir qu'il a une famille ou des voisins à protéger ?

“Sous le microscope, les organismes vivants ne sont qu'une soupe de composés chimiques et de minéraux. Mais qu'en est-il de ce que le microscope ne voit pas ? Cette force de vie, l'ingrédient vital de l'existence – d'un acacia à un éléphant – peut-elle être saisie ? ...
“Toutes les formes de vie sont importantes les unes pour les autres dans notre quête commune du bonheur et de la survie. La vie ne se limite pas à soi-même, à sa propre famille ou à sa propre espèce.” – p. 3-4

— The Elephant Whisperer, Lawrence Anthony, avec Graham Spence

Passé le monastère, vers l'arrière-pays aride