Regarder au fond de l'âme
Brisé à travers tout le superficiel
Du noir et blanc à toutes les couleurs
La dualité tend à se disputer et à se battre
Pourquoi ne pas tout simplement tous ensemble
Une force d'évolution tellement grande
Non pas le plus fort ou le plus apte
Mais celui qui coopère le plus
La conscience toujours nouvelle
Comme un phoenix des cendres
Est-ce que le vieux doit brûler
Ou peut-il simplement s'écarter
Faire de la place pour le nouveau
Dans le manège des générations
Cumulant non seulement des ordures
Mais l'épanouissement de tous
La conscience plus l'amour
D'apprécier et de prendre soin
De soi-même, des autres, de tous
Un beau monde qui est un foyer
Une telle beauté de la nature
C'est Dieu qui a créé la terre
Nous pouvons planter des fleurs
Ou bien les piétiner—trop souvent
Pour des vues en noir et en blanc
Trop répandues dans l'humanité
Jusqu'à ce qu'on voit les couleurs
Et les apprécie toutes ensemble
L'esprit de la vie et de l'amour
Tout libre au-delà de la surface
Grands yeux ronds si ouverts
Regardent au fond de l'âme.
“HexaNa Gita” – pack de six harmoniques
La tonalité HexaNa est remarquable en ce sens que ses hauteurs sont les six premières partiels ou harmoniques de sa fondamentale. Bien que notre ouïe ne perçoive que les premières harmoniques d'une fondamentale avec une clarté relative, les autres harmoniques contribuent largement à la sensation et au timbre d'un son, d'un instrument ou d'une composition.
Les six harmoniques initiales dans leur séquence distincte sont : 1) la fondamentale, 2) la quinte, 3) la tierce majeure, 4) la septième mineure, 5) la seconde majeure et 6) le triton. Leur ordre d'apparition dans la série des harmoniques montre leur prévalence et leur importance relative : 1) fondamentale, 2) octave, 3) quinte, 4) octave, 5) tierce majeure, 6) quinte, 7) septième mineure, 8) octave, 9) seconde majeure, 10) tierce majeure, 11) triton, 12) quinte, etc. Ainsi, dans les douze premières harmoniques, la fondamentale ou octave apparaît quatre fois, la quinte trois fois, la tierce majeure deux fois ; et la septième mineure, la seconde majeure et le triton n'apparaissent chacun qu'une fois et dans cet ordre de prévalence décroissante.
Le triton – la sixième harmonique distincte
En général, dans la musique occidentale, le triton, qui est le sixième harmonique dans leur séquence distincte ou le onzième en apparence, a tendance à être supprimé. Dans l'accordage exact, il ne s'intègre pas bien dans le schéma de l'accordage tempéré à douze sons. C'est pourquoi les marteaux d'un piano semblent frapper leurs cordes exactement et délibérément à l'endroit où cette harmonique prend naissance, afin de la supprimer.
Enfin, de Wikipedia un aperçu historique sur le triton:
“Le triton est un intervalle agité, classé comme une dissonance dans la musique occidentale depuis le début du Moyen Âge jusqu'à la fin de la période de pratique commune [l'ère du système tonal, en gros jusqu'en 1900]. Cet intervalle était fréquemment évité... en raison de sa qualité dissonante... Jusqu'à la fin de la Renaissance, le triton était considéré comme un intervalle instable et rejeté... Le nom de diabolus in musica (latin pour ‘le diable dans la musique’) a été appliqué à l'intervalle... désigné comme un intervalle ‘dangereux’... Cette association symbolique originale avec le diable et son évitement ont conduit à la convention culturelle occidentale voyant le triton comme suggérant le ‘mal’ dans la musique.”
— Voilà un exemple de la manière dont les êtres humains se sont empêtrés dans la dualité, séparant et excluant au lieu d'unifier et d'embrasser ce qui se trouve devant nous.