Les premières percées

Les premières percées
Où chaque pas est énorme
Et lorsque l'on passe d'un
À deux ou de quatre à huit
C'est en fait doubler
Cent pour cent
Ou de trois à neuf
C'est en réalité tripler
Les débuts si merveilleux
La première croissance
De dix à plus que cent
Déclenchée si clairement
Par une poussée consciente
Ou traction – peu importe
Des structures saisies
Et des idées appliquées
Trouvées par expérience
Au-delà de tout seuil
Pour être plus visible
Avec les outils donnés
D'une surabondance
Vraiment beaucoup trop
Pour la plupart des portées
Mais avec un outil approprié
Tout cela peut être géré
Et bien mis en avant
Dans le village global
Étendu bien plus loin
Par son potentiel.

“Cherry blossom dragon” – l'éveil du printemps

Le père Giovanni à propos des premières percées

“La foi ne peut être donnée à l'homme. La foi naît en l'homme et augmente son action en lui non pas comme le résultat d'un apprentissage automatique, c'est-à-dire non pas d'une détermination automatique de la taille, de la largeur, de l'épaisseur, de la forme et du poids, ou de la perception de quoi que ce soit par la vue, l'ouïe, le toucher, l'odorat ou le goût, mais de la compréhension.
“La compréhension est l'essence obtenue à partir d'informations apprises intentionnellement et de toutes sortes d'expériences vécues personnellement.
“Par exemple, si mon frère bien-aimé venait me voir en ce moment et me demandait instamment de lui donner seulement un dixième de ma compréhension, et si je le souhaitais moi-même de tout mon être, je ne pourrais pas, malgré mon désir le plus ardent, lui donner même la millième partie de cette compréhension, car il n'a ni la connaissance ni l'expérience que j'ai acquises et vécues tout à fait par hasard au cours de ma vie.
“Non..., il est cent fois plus facile, comme il est dit dans les Évangiles, 'qu'un chameau passe par le trou d'une aiguille' que pour quelqu'un de donner à un autre la compréhension qui s'est formée en lui sur quelque sujet que ce soit.”

— Meetings With Remarkable Men, George Ivanovich Gurdjieff, p. 240

Les premières percées du printemps pleinement éveillé