Au-delà de la dualité...
Pas de noir et blanc
Mais plein de couleurs
Pas seulement négatif
Ni même juste positif
Mais la vie et l'amour
Pas d'impairs avec l'ire
Mais les compléments
Des impairs et des pairs
Des cercles et des vagues
Et puis surtout
Pas de fins, jamais
Sans commencements
L'harmonie de la nature
Pas de lutte contre soi-même
Mais la paix dans le cœur
Observant en tous
Et en toutes choses
Comment Dieu se réalise
À chaque moment
Nourrit chacun et tous
Et équilibre la balance
En liberté d'esprit
Promise à l'âme
Mais inattendue
En détachant tout
De l'un, de l'unique
Au-delà de la dualité...
“Holy sham” – une courte excursion sonore bien loin – pour M&M
La dualité et aller au-delà
Cela a commencé par se rebeller contre les dogmes exclusifs. La bulle avait bien tenu pendant des décennies. Mais elle a finalement éclaté. La tolérance à l'égard de la dévalorisation des autres pour se faire valoir s'est évaporée. Tout comme la volonté d'amadouer ou d'ignorer les excès de l'autopromotion, surtout lorsqu'elle se fait au détriment des autres. Pourtant, la gratitude l'emporte sur tout. La liberté spirituelle s'est réalisée comme promis. Pas du tout comme prévu cependant, mais avec un détachement effrayant, jusqu'à une coupure et une distanciation apparentes.
L'essence du cœur aimant va au-delà de la dualité. Non pas d'un côté à l'autre, mais en fondant et en fusionnant tout en un tout unifié. L'harmonie dans la nature est divine. L'un permet l'existence de l'autre. Le rongeur et son prédateur. Le rapace et l'oisillon. Les populations se maintiennent en équilibre. L'un aide l'autre d'un moment au suivant, d'une incarnation à l'autre. Les humains se font de nombreuses guerres entre eux – jusqu'à ce que nous réalisions individuellement que tout ce contre quoi nous nous battons est notre propre personne et que nous arrêtions tout pour être simplement en harmonie et en équilibre, dans l'amour divin. Au-delà de la dualité...
Au-delà de la dualité a également fait l'objet d'un précédent message du blog le 25 décembre 2020.
Enfin une inspiration de la Grèce antique
"Dans le dialogue Phédon, Platon a formulé sa célèbre théorie des formes, substances distinctes et immatérielles dont les objets et autres phénomènes que nous percevons dans le monde ne sont que de simples ombres. ... Les formes sont les universalia ante res, c'est-à-dire qu'il s'agit d'universaux idéaux, grâce auxquels nous pouvons comprendre le monde. Dans son allégorie de la caverne, Platon compare l'accomplissement de la compréhension philosophique à l'émergence au soleil d'une caverne sombre, où seules de vagues ombres de ce qui se trouve au-delà de cette prison sont projetées faiblement sur le mur. Les formes de Platon sont non-physiques et non-mentales. Elles n'existent nulle part dans le temps ou dans l'espace, mais elles n'existent pas non plus dans le mental, ni dans le plérôme de la matière ; on dit plutôt que la matière 'participe' à la forme (μεθεξις, methexis).”
– de Wikipédia sur le dualisme corps-esprit
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